Ces Petites Choses Qui Changent La Vie
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Les accents du e

5/29/2013

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Le e accentué en français m'a donné du fil à retordre avec Mathurin. Pendant longtemps, il n'arrivait pas à faire la différence de prononciation entre é et è (ou ê). J'ai donc réfléchi à des moyens mnémotechniques tant visuels qu'auditifs pour qu'il comprenne la subtilité de la chose.


Les couleurs :

Le é, c'est bleu foncé. On entend é à la fin de l'expression.

Le è (ou ê), c'est vert clair. On entend è dans vert et dans clair.

Peu importe l'orthographe des expressions ici, d'accord ? Ce qui compte, c'est ce qu'on entend, et ce qu'on va associer au phonème, à savoir une couleur.
Ainsi, quand l'enfant écrit un mot, disons "amitié", on prononce tout haut ce mot, puis on prononce tout haut "bleu foncé" et "vert clair", en insistant bien sur le son qui nous intéresse (prononcer "bleu foncéééé" et "veeeeert claiiiiiiiir"). L'enfant répète, et compare le son qu'il entend dans "amitié" au son qu'il entend dans "bleu foncé" et "vert clair".
Très vite, il entendra le bon son, qu'il reliera à la couleur, et en se référant à une affichette, il saura quel accent écrire.

Au début, peu importe que l'enfant ne connaisse pas le nom de l'accent - aigu, grave, circonflexe. Mathurin me disait : "C'est l'accent bleu foncé", ou bien "C'est l'accent vert clair, le chapeau". Je bannis les termes techniques, certains finissent par apparaître dans l'apprentissage, mais ça se fait tout seul.


La forme de la bouche :

Le é est fermé (on entend bien é dans fermé) : donc la bouche est fermée (étirée sur les côtés, mais fermée en hauteur).

Le è (ou ê) est ouvert (là encore, on entend è dans ouvert) : la bouche est bien plus ouverte en hauteur.

Montrer à l'enfant la différence de position de la bouche lorsqu'on prononce les 2 phonèmes : sur soi, puis sur lui-même devant une glace.

J'ai réuni ces deux techniques de différenciation dans une affiche qui reste au mur en permanence :
Photo
e_accents_affiche.pdf
File Size: 12 kb
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Pour Eugénie, qui a commencé à lire en français plus jeune que Mathurin, je lui ai créé des petits e rigolos, et je lui faisais des petites saynettes.
Photo
Le e non accentué. Il est blanc parce qu'il n'a rien de particulier, et bien souvent on ne l'entend pas, alors il dort.

Photo
Le é : il n'est pas content ! Il dit "Héééé !" d'un air fâchéééé parce que le è lui est rentréééé dedans. Mes lettres sont plastifiées et manipulables : je les fais donc jouer comme des marionnettes, et le é donne un coup de pieeeeeed au è.

Photo
Le è est innoncent : "Eeeeeh, mais j'ai rien faiiiiiiit, moi !" (récurrence de sons "è", bien insister en les prononçant). Il a un petit air triste d'être accusé pour rien !

Photo
Même jeu avec le ê, qui se prononce comme le précédent.

Noter que les couleurs sont les mêmes que celles de l'affiche précédente qui servira plus tard à Eugénie.




Tout cela était pour aider mes enfants à différencier les sons é et è. Mais il fallait aller plus loin, avec l'orthographe, l'emploi de ces accents. Alors poum poum poum, encore une affiche (chez nous les murs sont plus des supports pédagogiques que des supports esthétiques... Y en a partout, des trucs de français !) :
Photo
L'affiche :
affiche_regles_e_accents.pdf
File Size: 30 kb
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Et enfin, un petit exercice pour s'entraîner !
accents_du_e_exercice.pdf
File Size: 15 kb
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Bien entendu, les affiches sont au mur, on a le droit de s'y référer et on choisit la méthode qu'on préfère (les couleurs ou la forme de la bouche, ou pourquoi par la manipulation des lettres plastifiées).

Ça marche !

Caroline

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Barres énergétiques au chocolat

5/28/2013

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J'avoue que... j'ai longtemps hésité avant de vous mettre la photo... Oui parce que ça peut porter à confusion... Et nulle comme je suis avec un appareil-photo, je ne sais pas la déguiser, l'arranger, la maquiller pour qu'elle soit un peu plus... présentable.

Ça me rappelle mon grand-père. Il était commerçant-photographe, et un jour qu'une cliente, non satisfaite de son portrait, lui disait : "Ah mais je suis horrible là-dessus !", il a eu le culot de répondre : "Madame, l'appareil ne prend que ce qu'il voit". Et vlan.

Je doute que la brave dame soit revenue un jour.

Tout ça pour dire que ni en changeant la lumière, ni en orientant le sujet, ni en zoomant plus / moins, je n'ai réussi à obtenir autre chose que cela :
Photo
Ouais, je vous laisse ricaner.

ET POURTANT !!!

Et pourtant c'est super bon. Oui parce que ça se mange, je vous jure !!!! Et en plus, c'est bon pour la santé !

Pour 12 barres :

• 150g de noix de cajou (trempées 30 minutes)

• 200g de dattes (trempées dans de l'eau chaude si elles sont très sèches, sinon c'est inutile)

• 1 bonne pincée de sel

• 25g de graines de chia ou de lin (ces graines absorberont l'humidité en trop)

• de 25 à 35g de cacao en poudre (selon les goûts)

• 20g de graines de tournesol

• 1 cuillère à café de maca (facultatif)

Il suffit de réduire en purée (au mixeur plutôt qu'au blender, croyez-en mon humble expérience) les noix de cajou et les dattes. Y ajouter le reste des ingrédients hors mixeur.

Ensuite on a deux possibilités :

- Soit mettre la préparation au frigo au moins une heure (ou une nuit), afin de la laisser durcir, puis façonner des formes à la main.

- Soit mouler la préparation dans un moule à cake tapissé de papier sulfurisé, laisser durcir au froid, puis couper des barres.

Enfin, emballer chaque portion dans du film alimentaire, et conserver au frigo dans une boîte hermétique.

Et le premier qui dit que mes barres au chocolat ressemblent à autre chose que des barres au chocolat je le tape.

Caroline

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Spaghettis de courgettes

5/25/2013

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Photo
Ce soir, c'est Eugénie qui a cuisiné. Elle avait choisi depuis 2 jours le plat qu'elle réaliserait : des spaghettis de courgettes avec une sauce tomate et des champignons. L'originalité, c'est que le tout est cru. Originalité et simplicité.

Après avoir épluché les courgettes (impossible d'en trouver des bio dans mon quartier), elle les a coupées en spaghettis avec le Spiral slicer de Gefu. Je l'ai un peu aidée, car la manipulation de l'ustensile n'est pas très facile à 7 ans.
Photo
Pour rendre les spaghettis plus souples, je lui ai conseillé de les mettre dans un saladier, les saupoudrer de sel (pas trop), et les brasser avec les mains, juste le temps de préparer l'accompagnement.

L'accompagnement, c'était des champignons coupés en lamelles. Ça prend 3 minutes, et les spaghettis de courgettes avaient déjà rendu un peu de jus et acquis une consistance parfaite de pasta al dente.
Pour la sauce, à 7 ans on fait simple : on vise la bouteille de coulis de tomate bio sur l'étagère, on l'ouvre, et après avoir réparti les spaghettis dans les assiettes (sans les rincer, ils étaient très peu salés), on verse un peu de coulis de tomate dessus. On décore avec les champignons, des herbes de Provence, du poivre, un filet d'huile d'olive, et un peu de levure alimentaire*.

J'ai complété ce divin plat cru et végétalien, plein d'enzymes nutritives et de vitamines, par un pesto de coriandre fraîche à base de noix de cajou et noix de pécan tartiné sur des crackers.
Photo
La cuisinière était très fière d'elle et trouve que finalement, c'est pas si difficile, la cuisine.

Caroline

* La levure alimentaire, ou diététique, c'est du nutritional yeast. Je précise parce que Sophie m'a dit qu'en France le terme "levure diététique" comme je l'appelais, ça ne parle à personne. On lui a vendu de  la levure de bière. Paraît que c'est pas très bon, alors autant vérifier avec l'appellation anglo-saxonne.

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No steak par Aymeric Caron (No milk today)

5/22/2013

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Je viens de terminer un livre qui m'a fait profondément réfléchir. Il s'agit de No Steak, d'Aymeric Caron.
Photo
L'auteur y explique pourquoi, bientôt, nous ne mangerons plus de viande. J'y reviendrai, mais aujourd'hui c'est un aspect bien particulier de l'exploitation animale dont je voudrais parler : le lait de vache.

Je l'ai déjà dit, nous ne consommons plus de lait de vache depuis 7 ans. Ce fut d'abord un choix motivé par les douleurs abdominales d'Eugénie bébé : allaitée, elle ne supportait pas les produits laitiers que je consommais. Puis ce choix a été confirmé par la diminution des allergies respiratoires de Takaya et la disparition de l'allergie aux piqûres de moustiques de Mathurin. Bref, un choix uniquement fondé sur la santé de ma famille.
Le temps passant, d'autres aspects sont venus se greffer sur mon rapport au lait de vache. Déjà convaincue qu'il n'est pas fait pour nous, humains, j'en suis arrivée en plus à le considérer sous un angle plus émotionnel. On me dira que l'argument n'a rien de scientifique, anyway c'est le mien et certainement celui d'autres mamans...
Car c'est justement parce que je suis une mère que la consommation de lait de vache, telle qu'elle existe de nos jours, m'est insupportable.

Aymeric Caron nous rappelle dans son livre le sort d'une vache laitière. Première évidence : pour avoir du lait, une vache doit avoir un petit. Comme nous.

Deuxième évidence : pour avoir un petit, la vache doit être fécondée. Comme nous. Sauf que pour la vache, c'est nettement moins charmant que pour nous : dans sa vie, elle ne rencontrera jamais le(s) père(s) de ses enfants. On l'insémine artificiellement dès qu'elle a un peu plus d'un an.

Mais c'est à la naissance du petit que l'histoire devient un vrai drame. Drame du moins pour nous, les mamans : dès que le veau naît, on le retire à sa mère. Et la vache ne supporte pas cette séparation, elle crie, elle pleure pendant des jours pour l'appeler, pour le retrouver. Elle pleure, oui. Comme moi j'aurais pleuré si on m'avait enlevé mes bébés à la naissance. Comme pleurent les jeunes accouchées qui doivent se séparer de leur bébé parce qu'il doit aller en couveuse, expérience traumatisante pas seulement pour l'angoisse relative à la santé du bébé, mais également pour la séparation mère-enfant.

À la maternité, je me souviens encore du vide en moi quand je devais laisser mon nouveau-né à la nurserie afin qu'il ait un examen de routine. Ce vide, cette angoisse irraisonnée pour moi qui savais que j'allais retrouver mon bébé dans les 10 minutes qui suivaient, la vache la ressent également. Et elle, elle ne retrouvejamais son bébé.

La suite de l'histoire est tout aussi illogique et inacceptable. Le veau, retiré à sa mère, est nourri avec des substituts à partir de poches en plastique distributrices, pendant que le lait de sa mère est récupéré pour nous, les humains.

Trois mois après la naissance du petit veau, on insémine à nouveau la vache, qui sera traite pendant sa grossesse, qui se verra à nouveau enlever son petit à la naissance, qui vivra encore et encore cette souffrance.

Une vache donne ainsi entre 4000 et 8000 litres de lait par an (le chiffre pouvant monter à 12000 litres pour certaines races). Autrefois, une vache traite à la main donnait en moyenne 2000 litres de lait par an...

Cette histoire (qui n'est pas terminée, je pourrais aussi vous parler des pis que l'on coupe à vif pour qu'ils entrent bien dans les trayeuses automatiques : j'ai allaité deux fois 3 ans, soit 6 ans de ma vie, et jamais je n'ai coupé le bout de mes seins pour qu'ils entrent dans la bouche de mes bébés) me remue profondément. Elle me colle une boule dans la gorge, elle me tord les tripes comme on dit. Le sort d'une vache laitière me donne envie de pleurer, parce qu'elle me renvoie à ma propre expérience de maman.

Pourquoi ne peut-on pas reconnaître la souffrance de cette vache lorsqu'on lui retire son veau à la naissance ? Parce que c'est de l'anthropomorphisme, disent certains : l'être humain est supérieur à l'animal (notamment la vache : c'est tellement stupide une vache, ça broute et ça rumine, ça ne sait rien faire d'autre), par conséquent l'être humain a le droit de transformer les vaches en machines à lait et à viande.

Et pourtant... comment justifier que la vache crie, pleure, appelle son bébé pendant plusieurs jours quand on le lui enlève ?



Je voudrais faire ici une citation d'Aymeric Caron :

Imaginons la (..) scène : une femme vient d'accoucher, elle est étendue sur un lit d'hôpital. Sur son sein, son enfant, ce petit être devenu le centre de son univers, qu'elle serre contre elle, caresse, et admire. Soudain, un commando fait irruption dans la chambre et lui arrache le nouveau-né, le faisant disparaître à tout jamais. Acte criminel. Barbare. La mère sombre dans la dépression ou la folie.

Imaginons maintenant que, pour cette femme, la scène se répète sans cesse. Que chaque fois qu'elle donne naissance à un nouveau bébé, celui-ci lui soit presque immédiatement confisqué. Non, justement, on ne peut pas l'imaginer. C'est pourtant bien ce que l'on fait subir aux vaches laitières que l'on engrosse à tour de bras jusqu'à ce qu'elles soient usées. Leur "vie" consiste à se faire ensemencer, à porter un veau qu'on leur enlève au bout d'un ou deux jours, et à subir ce traitement répété pendant cinq ans, jusqu'à ce qu'elles soient envoyées à l'abattoir pour finir "réformées" en steaks. 

Sans revenir sur l'aspect "santé" de la consommation humaine du lait de vache, je crois que j'accepterais moralement qu'on boive du lait et mange du fromage s'il s'agissait du surplus de la production naturelle de la vache, après qu'elle ait nourri son petit. Autrement dit, la consommation du lait produit dans la ferme des mes arrières-grands-parents à l'époque où ma grand-mère était enfant me semble tout-à-fait acceptable : le veau restait avec sa mère jusqu'à son sevrage, la traite lui laissait de quoi se nourrir, et le lait récupéré pour la consommation humaine n'entravait pas sa croissance.

Les vaches chez mon arrière-grand-père ne connaissaient pas la souffrance qu'on impose aux vaches d'aujourd'hui. Dans ce cas, oui, pourquoi pas boire du lait et fabriquer du fromage.

Alors peut-être qu'aujourd'hui l'élevage bio aurait un cahier des charges suffisamment strict pour que le bien-être de l'animal soit respecté ? Je n'en crois rien. Après des recherches sur le sujet, je n'ai rien trouvé de satisfaisant. Une marque bio qui se veut très axée sur les conditions de vie des vaches laitières ne répond pas aux questions des internautes dès qu'ils demandent si le veau est oui ou non retiré à sa mère après sa naissance... Eh, on a beau faire du bio, il faut produire.

En conclusion, consommer des produits laitiers, qu'ils soient bio ou conventionnels, revient à accepter la souffrance que l'on impose aux vaches. Des mères, des mamans, qui ont des bébés, qu'on leur enlève, et qui les pleurent. Comme je pleurerais si on m'enlevait mon enfant.

Caroline

Suite de ce billet : No steak, Réflexions #1


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Soulager les piqûres de moustiques

5/21/2013

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On a beau essayer de s'en prémunir, il y en aura toujours (au moins) un qui nous aura...

Voici la formule d'une lotion apaisante très efficace, et entièrement naturelle. Je la fais tous les ans dans un roll-on que les enfants utilisent à volonté :
Photo
Pour un roll-on de 30ml :


Formule best :

• - remplir à moitié de chlorure de magnésium

• - ajouter un pschitt de teinture-mère de calendula (j'ai un flacon pompe)

• - également un pschitt d'aloé véra

• - ajouter du vinaigre blanc de manière à laisser de la place pour les HE suivantes :

• - 5 gouttes de lavande vraie

• - 5 gouttes de menthe poivrée (omettre pour les moins de 4 ans)

• - 5 gouttes d'eucalyptus citronné (anti inflammatoire)

• - 3 gouttes de tea tree

• - quelques gouttes d'huile de calophylle



Formule simplifiée :

• - remplir à moitié d'eau

• - ajouter du vinaigre blanc de manière à laisser de la place pour les HE suivantes :

• - 5 gouttes de lavande vraie

• - 5 gouttes de menthe poivrée (omettre pour les moins de 4 ans)

• - 5 gouttes d'eucalyptus citronné (anti inflammatoire)

• - 3 gouttes de tea tree

Si vous appliquez cette lotion immédiatement après la piqûre, en massant bien pour faire pénétrer le produit, vous n'aurez même pas de bouton (avec la formule best). Sinon, appliquez-là sur le bouton aussi souvent que nécessaire (quand ça gratouille quoi), cela limitera la démangeaison et l'inflammation, et évitera une possible infection ultérieure.

Bien agiter avant l'emploi !

Caroline

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