La recette n'en est pas vraiment une (vous noterez que j'affectionne particulièrement les "recettes qui n'en sont pas vraiment" !) parce qu'on peut en fait y mettre un peu ce qu'on veut. Ce furikake comporte des wakame coupées en menus morceaux, des arame réduites en poudre au mortier, du sésame blanc en poudre, des graines de sésame noir entières, du thé vert en poudre, et du sel.
Mais on peut remplacer une algue par une autre : paillettes de nori, de dulse...
On peut omettre une variété de sésame et n'en choisir qu'une.
On peut ajouter des flocons de bonite séchée.
Du gingembre en poudre, ou du wasabi en poudre.
Certains y mettent également du sucre.
Soyons fous...
Ajoutons un tout petit peu de spiruline !
Déshydratons du kale, réduisons-le en paillettes, et hop avec le reste !
Une pincée de cayenne !
Pffff... ces recettes qui n'en sont pas n'ont pas de limite. La seule condition pour faire du furikake, c'est le sel. Soyez généreux en sel (sur la quantité et sur la qualité), n'oubliez pas que le furikake est un condiment, on n'en mange pas un bocal entier sur son bol de riz...
Caroline